« L’alerte sensorielle se déclenche dès les premières salves. Elle prévient du bon disque. Au bout de quelques secondes : confirmation. La profondeur du piano de Marc Copland, qui parsème l’album d’accords marquants, élève les compositions de Michel El Malem vers une forme supérieure.

Le jeu au saxophone tenor et soprano du leader, techniquement impressionnant, se fond dans celui de la formation.

Maîtrise sur tous les plans donc.

Sur le mode du contrepoint, notons la prestation de haut niveau du guitariste Michael Felberbaum. »

Bruno Pfeiffer

Source : So Jazz – Décembre 2011